TROUBLES
J’ai pas vu s’pointer la nuit ni les ombres qui passent
Dans le bleu des Maldives que nous bradent les yeux des premiers soirs
J’ai pas vu s’pointer l’ennemi, le temps gris
Ses gants noirs, le temps qui assassine de sang-froid les feux des premières fois
A trop danser sur nos ruines, je fatigue
Y’a des guerres qui font fuir tout autant que le vide
Que je sens dans tes bras qui m’enserrent, qui me brisent
On s’emmêle, on s’entête puis on n’s’en mêle plus, on s’enchaîne
On s'emmêle, on s'entête, puis on n's'emmêle plus (puis on n'sent même plus), on s'enchaîne
On s'emmerde, d'ces tempêtes, qu'on n'tempère plus, on s'enterre
On s'emmêle, on s'entête, puis on n's'emmêle plus (puis on n'sent même plus), on s'enchaîne
On s'emmerde, d'ces tempêtes, qu'on n'tempère plus, on s'enterre
Ce soir j’suis pas là, j’suis partie, j’me balade et j’ai froid dans Paris, sa magie, ses angoisses, à quelques larmes de toi
J’me dis qu’c’était pas lui, qu’c’était pas moi, le ciel gris, les orages, quelques griffes nous survivent dans ton dos, c’était la dernière fois
A trop danser sur nos ruines je fatigue
Y’a des guerres qui font fuir tout autant que le vide
Et je sens dans tes bras qui m’enserrent, qui me brisent
On s’emmême, on s’entête puis on n’s’en mêle plus, on s’enchaîne
J’veux pas crever d’amour
Crever d’avoir faim tous les jours
A s’aimer mal, si mal, si mal
On s'emmêle, on s'entête, puis on n's'emmêle plus (puis on n'sent même plus), on s'enchaîne
On s'emmerde, d'ces tempêtes, qu'on n'tempère plus, on s'enterre
On s'emmêle, on s'entête, puis on n's'emmêle plus (puis on n'sent même plus), on s'enchaîne
On s'emmerde, d'ces tempêtes, qu'on n'tempère plus, on s'enterre
J’veux pas crever d’amour
Crever d’avoir faim tous les jours
A s’aimer mal, si mal, si mal