Goons

Alors comme ça tu disais que pour moi c’était mort ?
Moi j’préfère encore le voir pour le croire,
Comme boulette marron faut rester fort,
J’ai bien eu le temps de m’abîmer la voix,
Tout dans la tête,
Je garde chaque souvenir,
Parfois la fume,
Elle me les soutires,
Tout qui s’achète,
Même ton sourire,
Que des lacunes,
Donnerait le tournis,
Bateau il coule, trop d’équipage,
Lache personne part à la nage,
Pas vu la neige, trop vu l’orage,
Toucher le destin du bout des doigts,
Il y a des cagoules, cache le visage,
Je sais que mon petit frère a tant la rage,
Rare qu’on s’appelle, que des mirages
dehors certain qui ont pas de toit
Le matériel qu’il faut, Goons pour s’en charger,
Toi qui pensait jamais être sad,
Le matériel qu’il faut, Goons pour s’en charger,
Toi qui pensait jamais être sad,