Sequana
Je t’aime tellement que je ne laisse rien t’atteindre,
Je laisse la pluie tomber sur moi pour te couvrir.
Quand je ferme les yeux, la vie me fait pleurer,
Mais, le sourire sur mon visage demeure dessiné.
D’un Sahara lointain, je t’apporte chaque jour une rose,
Et je marcherai sur les épines pour toi.
Quand l’obscurité habite ton cœur,
Et la lumière s’arrête au seuil de ta porte,
Avec les ombres chinoises, je retrouve tes éclats de rire.
Cette vie ne mérite aucune larme de tes yeux.
À force d’essayer, l’oisillon finira par voler.
À l’aube, la nuit, finira par se dissiper.
Et le soleil finira par se lever.
À force d’essayer, l’oisillon finira par voler.
À l’aube, la nuit, finira par se dissiper.
Et le soleil finira par se lever.
Vis tes rêves présents et vois le verre à moitié plein.
Rien n’est impossible !
Ta vie est telle une rose, arrose-la et oublie ses épines.
La lumière du matin efface la noirceur de la nuit.
Contemple cette vie, rien n’est éternel,
Elle est trop courte et chaque jour est un apprentissage.
Donne-moi ta main pour la réchauffer.
Laisse moi calmer tes craintes.
Ne laisse pas la peur t’habiter.
Cette vie ne mérite aucune larme de tes yeux.
À force d’essayer, l’oisillon finira par voler.
À l’aube, la nuit, finira par se dissiper.
Et le soleil finira par se lever.
Cette vie ne mérite aucune larme de tes yeux.
À force d’essayer, l’oisillon finira par voler.
À l’aube, la nuit, finira par se dissiper.
Et le soleil finira par se lever.
Cette vie ne mérite aucune larme de tes yeux.
À force d’essayer, l’oisillon finira par voler.
À l’aube, la nuit, finira par se dissiper.
Et le soleil finira par se lever.