Plus j'observe ces lieux, et plus je les admire
Jean-Baptiste Lully
Plus j'observe ces lieux
Et plus je les admire
Ce fleuve coule lentement
Et s'éloigne à regret d'un séjour si charmant
Les plus aimables fleurs
Et les plus doux zéphyrs
Parfument l'air qu'on y respire
Non, je ne puis quitter des rivages si beaux
Un son harmonieux se mêle au bruit des eaux
Un son harmonieux
Se mêle au bruit des eaux
Les oiseaux enchantés
Se taisent pour l'entendre
Des charmes du sommeil
J'ai peine à me défendre
Ce gazon, cet ombrage frais
Tout m'invite au repos
Sous ce feuillage épais
Ce gazon, cet ombrage frais
Tout m'invite au repos
Sous ce feuillage épais