Ungern-Sternberg
[Couplet 1]
Le baron chevauche à travers les steppes d’Asie
Au gré de ses rêves de gloire et de folie
Se sacrer souverain
D’un Empire oublié
Puis tracer ses frontières à coups d’épée
Des cascades de sang jaillissent sur le passage
De l’étrange division sauvage
Et les cosaques chargent, un seul cri dans la voix
« Ce soir nous aurons pris Ourga ! »
[Refrain 1]
Et Ungern-Sternberg se jette dans la mêlée
Le sabre pointé vers le couchant
Ou contemple la plaine de la muraille enneigée
Le visage fouetté par le vent
[Couplet 2]
Dans son regard d’acier, un soleil qui se lève
Rayonnant des brumes sibériennes
Avec la beauté triste d’un songe qui s’achève
À mille lieues des convulsions humaines
[Refrain 1]
Et Ungern-Sternberg se jette dans la mêlée
Le sabre pointé vers le couchant
Ou contemple la plaine de la muraille enneigée
Le visage fouetté par le vent
[Refrain 2]
Ungern-Sternberg, chevalier romantique
Tu attends la mort comme un amant sa promise
Ungern-Sternberg, chevalier romantique
Les rêves les plus fous sont les seuls que l’on réalise
[Refrain 1]
Et Ungern-Sternberg se jette dans la mêlée
Le sabre pointé vers le couchant
Ou contemple la plaine de la muraille enneigée
Le visage fouetté par le vent
[Refrain 2]
Ungern-Sternberg, chevalier romantique
Tu attends la mort comme un amant sa promise
Ungern-Sternberg, chevalier romantique
Les rêves les plus fous sont les seuls que l’on réalise