La fièvre
Il y a des luttes vaines, je sais, nous n'allons nulle part
Les comptes et les fables urbaines, j'ai du mal à y croire
Moi, je voulais ta bouche, ta chute de reins, ton regard
Je voulais ta peau, tes yeux agars
Il y a des lunes pleines qui éclatent l'obscurité
Quand j'ai de la peine, je peine un peu à les trouver
Tu as nourri sans trêve, ce désir vertigineux
Je voulais ton parfum, tes mains dans mes creux
La nuit
Tout n'est qu'un rêve
La nuit
Ton masque se lève
Mon corps hurle la fièvre
De tes retours, de tes départs
Mon cri contient la fièvre
Mais le silence coudra mes lèvres, tu pars
Te ju-, te ju-, te juro que mañana será de oro
Te prometo que mañana será de oro
Te ju-, te juro que mañana será de oro
Te prometo que mañana será de oro
La nuit, tout n'est qu'un rêve, les deux mains vont au hasard
La nuit, ton masque se lève, je reprends le pouvoir
Le jour est une trêve, tu t'enfuis par le balcon
Porté par les chimères de nos "oui" et de nos "non"
La nuit
Tout n'est qu'un rêve
La nuit
Ton masque se lève
Mon corps hurle la fièvre
De tes retours, de tes départs
Mon cri contient la fièvre
Mais le silence coudra mes lèvres, tu pars?
Te ju-, te ju-, te juro que mañana será de oro
Te prometo que mañana será de oro
Te ju-, te juro que mañana será de oro
Te prometo que mañana será de oro