Sa nuit d’été
Si je pourrais avec mes mains brûlantes
Fondre ton corps autour ton cœur d’amante
Ah que la nuit deviendrait transparente
Le prenant pour un astre attardé
Qui toujours dès le premier temps des mondes
Était perdu et qui commence sa ronde
Et tâtonnant de la lumière blonde
Sa première nuit, sa nuit, sa nuit d’été