PARIS LA DERIVE
Paris la dérive trois heures du matin
Ivre dans la ville endormie
Je marche sans passé,sans lendemain
Je cours, j’ai bien compris, je m’enfuis
Serrer contre soi le pull qui déteind
Comme un amant évanoui sous la pluie
La pluie qui démolit
Le visage que j’ai peint
Pourtant hier encore j’ai ri
C’était je crois bien dans ton lit
Les blés étaient comme...
Etaient comme....
Je ne sais plus
Le silence est doux, si lent et me voue
A tout attendre sur ce quai
Mes souvenirs maquillés
Se jouent de moi, se jouent de tout
Pourtant hier encore j’ai ri
c’était je crois bien dans la nuit
Le ciel était comme....
Était comme....
Je ne sais plus
Oostende-la mer, 6h du matin
Ton visage, tes promesses
Tout me semble lointain
Les vagues, la mer et les frittes et mes regrets
Et la sauce Americaine
Me donnent envie de pleurer
Je n’en prendrai pas la peine
Pourtant hier encore j’ai ri
C’était en plein coeur de la nuit
Ton visage était comme
Pourtant hier encore tu l’as dit
J’étais la femme de ta vie
Et l’amour était comme
Etait …
Je ne sais plus