Merci Christophe
Quand après cent leçons,Cent leçonsEt quatre à cinq déroutes,Cinq déroutesMa mère, par abandonDu permis fut nantieFut nantiePensant qu'il était bonEtait bonDe le mettre en pratiqueEn pratiqueDans les rues désertiquesTous deux sommes partisA vrai dire ce n'était pointN'était pointPar excès de vitesseDe vitesseQue mes doigts en détresseSerraient le frein à mainNon point bien sûr à nous entendreNous entendreOn pouvait se méprendreSe méprendreNous faisions, je le crains bienBeaucoup de bruit pour rienAdieu pistons et engrenagesAdieu chers disques d'embrayageC'est avant l'âge qu'il faut mourirQue de pleurs et que de détresseMa pauvre chère boîte à vitessesAvec les femmes, il faut souffrirLe compteur à 120,A 120C'est de l'eau dont je parleDont je parleA perte de pédalesNous roulions néanmoins,NéanmoinsLes yeux guettant l'obstacleOui, l'obstacleÇa tenait du miracleDu miracleSi une fois bien en vueOn n'y passait dessusAdieu piéton, adieu mon frèreComme Attila, voici ma mèreLà où elle passe, la vie trépasseClous ou pas clousFeux rouges ou vertsDe toute manièreFais tes prièresMoteur à terre, elle chasseOserais-je vous direOui vous direLes malheureuses suites,Tristes suitesQu'après notre passageEn ville, on déploraOn déploraCombien de fausses couches,Fausses couchesEt de dingues avant l'âgeAvant l'âgeMais aussi que d'aphonesQui retrouvèrent la voixMerci mon SaintMon Saint ChristopheSans toi sur une catastropheNotre humble vie aurait caléBonjour la vie, adieu voitureLe sort pour toi a été durL'heure est venue de nous quitterAllez Maman prends tes affairesNous avons de la route à faireTu as conduitIl faut marcher